29 août 2017.Jean-Michel Le Hégarat, à son compte depuis 15 ans, trie ainsi les coquillages. Le tambour a fait un premier tri dans les différentes espèces mais la sélection manuelle est indispensable pour écarter les coquilles vides, fermées comme les autres, mais sans plus rien à l'intérieur. Travail harassant et bruyant et qui augmente cette année avec 30 à 40% de déchets. Un taux anormalement élevé, et sans perçage de coque par un vers. Mystère qui inquiète Jean-Michel qui aime valoriser ce produit, et que les gens imaginent provenant du Portugal ou de Chine. Il rit en pensant au coût du transport d'un tel produit frais...