11_Fabienne Rigault-Jalabert - au large de l'Ile de Batz. A bord du Néomysis.

des prélèvements. .Un contact privilégié avec les éléments pour ces scientifiques..Même si, comme le dit Fabienne Rigault-Jalabert,« Il y a des fois où au réveil on entend le vent, et qu'on aimerait mieux rester au chaud. Mais à moins d'une grosse tempête on ne peut décaler le relevé. La régularité est importante. Aujourd'hui il fait beau, mais le vent est frais et le bateau est chahuté. Même pour ces habitués accompagnés par 2 anciens marin-pêcheurs, le travail n'est pas de tout repos.